une partie des dons de Mohammad Ramadani  (Directeur des éditions kalalakhowar) la bibliothèque ayatollah Broroujadis est composé d'anciens manuels didactiques. Cet ensemble est constitué de plus de 4000 ouvrages donc 500 sont des lithographies. La plus importante partie de ces livres sont des lithographies récentes (1300 1350) et d’autres ont une publication variant entre 1320 et 1340. La plus ancienne œuvre remonte aux années 1280 de l’hégire solaire (à l’époque du règne de Mohammad Ali ShaKajar). Près de 700 titres de cette collection sont destinés au cycle primaire et 2300 pour le secondaire et l’enseignement supérieur. Les œuvres des illustres savants tels que Abou QâsimBorhân, BadroulMouloukBamdâd (Propriétaire de l’illustre journal la femme d’aujourd’hui) le professeur Mohammad TaqiFâtimi, Hassan GolGolâb, Ahmad Parsâ (Pionnier de l’étude des plantes et père du Musée des sciences naturelles d’Iran) l’ingénieur Ali RezaAfzali (fondateur de l’université ShahidBohounerde Kerman) Abbas IqbâlAshtiyan, GhoulamReza Rashid Yasimi… accorde à cette collection d’œuvres une valeur particulière.De même, certains manuels d’enseignement religieux des écoles concordant avec les fatwas et sous la supervision des AyatollahsBoroujerdi, Sayyed Mohammad HojjatTabriziKouhkamari et SayyedMouhsinTabâtabâ’i et qui ont été publiés sont d’autres particularités exceptionnelles de cette collection de livres. Les matières de cette collection d’ouvrages sont: science naturelle, législation islamique, les mathématiques, la géométrie, les sciences sociales et humaines, la physique, la chimie, l’histoire, la géographie, la littérature persane, l’enseignement technique et professionnel. Il y a également des livres sur les méthodes d’enseignement des manuels didactiques d’autres pays, le livre d’orientation pour les études, la méthodologie d’évaluation, le livre de programmation pédagogique... ainsi que d’autres sources. L’exemplaire lithographies de cet ensemble a été réalisé par le spécialiste en catalogage monsieur Majid GhoulâmiJelsiyyeh et le reste par Madame Ma’souma Omid